AMAZIGH AU MUCEM : QUAND L'ART ANCESTRAL RENCONTRE LE DROIT
- JALABERT AVOCAT
- 29 avr.
- 2 min de lecture
La semaine dernière, le cabinet JALABERTAVOCAT était invité par la Maison Mode Mediterranée au vernissage de l'exposition « Amazighes – Cycles, parures, motifs ».
Du 30 avril au 2 novembre 2025, Marseille devient une fois de plus un carrefour incontournable des cultures méditerranéennes. Cette exposition, présentée au Mucem – Fort Saint-Jean, offre une immersion exceptionnelle dans l’art amazigh, à travers près de 150 œuvres, objets rituels, parures et textiles, du XIXe siècle à nos jours. Un événement majeur pour les amateurs d’histoire de l’art, les curieux de patrimoine.
Marseille, capitale culturelle et juridique en Méditerranée
À travers cette exposition, Marseille, ville de droit, de diversité et d’ouverture, confirme son rôle de pont entre création artistique et enjeux juridiques contemporains.
Art, patrimoine immatériel et propriété intellectuelle : un débat juridique essentiel
L’exposition, conçue en partenariat avec la Fondation Jardin Majorelle et soutenue par la Maison Mode Méditerranée, pose indirectement la question de la valorisation du patrimoine immatériel. Les objets amazighs exposés – bijoux, vêtements, objets rituels – sont autant d’illustrations d’une créativité communautaire.
Les professionnels du droit, en particulier les avocats en droit de la propriété intellectuelle (droit d’auteur, droit des marques), doivent aujourd’hui composer avec ces zones grises. À Marseille, le cabinet JALABERT AVOCAT accompagne les artisans, designers, artistes et collectivités dans leurs démarches pour faire reconnaître et protéger la création sous chacune de ses formes. .
Informations pratiques
📍Exposition : Amazighes – Cycles, parures, motifs
🗓️ Du 30 avril au 2 novembre 2025
📍Mucem – Fort Saint-Jean, Marseille
En conclusion
L’exposition « Amazighes » n’est pas seulement une célébration de l’art amazigh : c’est une invitation à penser le droit autrement, en intégrant les réalités du patrimoine immatériel, les droits des peuples autochtones, et le rôle des avocats à Marseille dans la médiation entre tradition et modernité.
